Investissements limités à des achats de fonctionnement, hausse de la taxe foncière…, lors du conseil municipal du 9 mars dernier, notre groupe Vivons notre Ville est intervenu dans le cadre du débat sur les orientations budgétaires pour exprimer ses interrogations sur les choix de la majorité :
Intervention Vivons notre Ville – Débat Orientations Budgétaires 2018, [PDF] [PDF]
nous avons notamment tenu à indiquer :
« Concernant les investissements, les années se succèdent et se ressemblent, sans surprises.
Nous restons lucides sur les marges de manoeuvre financières limitées pour notre ville mais nous nous inquiétons sur le report d’investissements structurants et pourtant nécessaires comme la construction d’une nouvelle école, le retard continu dans la réfection de routes et de trottoirs… […]
Nos inquiétudes demeurent sur les infrastructures, les services à la population et les investissements qui doivent suivre le dynamisme démographique de notre ville. En effet, ce sont autant de défis à relever au niveau de l’aménagement de notre territoire, du cadre de vie, des infrastructures scolaires, sportives, culturelles, de loisirs, de santé, routières, des modes de transports, ou de l’environnement… […]
Venant en aux projets d’investissement avancés pour l’année 2018 : Porte, tables, chaises, caisson, désherbeur, pots, benne, aspirateur… Non, nous ne sommes pas dans un magasin de bricolage… mais dans les orientations budgétaires ! A la lecture, nous constatons, tout comme sur la fiche des réalisations 2017 distribuées lors de la cérémonie des voeux, que nous sommes sur ce qu’on pourrait appeler à Vivons notre Ville des investissements…de fonctionnement…! »
Des achats certainement utiles, nous n’en doutons pas, ce n’est pas la question car ce sont des besoins à assouvir et des outils de travail pour les services municipaux, mais qui traduisent des investissements sans oxygène et sans ambition pour la troisième ville du département.
Un équilibre est à trouver entre sérieux budgétaire et oxygène à donner pour assurer la réfection et le développement des infrastructures de notre ville.
Article Le Progrès du 17 mars 2018 :